Présentation d'Aria

Caractère: Aria est une personne libre et indépendante, elle déteste devoir vivre au profit de quelconque. On l'a souvent qualifiée de "rebelle" ou "d'anticonformiste". Elle revendique juste ses pensées. Bien qu'elle ait un fichue un caractère et un tempérament plutôt impulsif, elle sait se faire discrète, d'ailleurs elle est secrète et réservée, en bref cette jeune fille est introvertie de nature. Aria s'enferme toujours dans un mutisme profond quand il s’agit de parler d'elle, incapable de prononcer un seul mot de son passé et de sa personne dont elle se sent prisonnière. Elle a toujours été casse-cou, impossible pour elle de revenir de ses escapades sans plaies et quelques gouttes de sang dont elle gardera des cicatrices, mais elle s'en moque, elle aime les sensations fortes, la nuit, la vitesse, l’adrénaline. Cette petite guerrière est plutôt téméraire et courageuse, essayant tant bien que mal de mettre cette bravoure au profit des gens qu'elle apprécie, ils sont très peu, mais pourtant elle donnerait sa vie pour eux. Bien qu'Aria ne montre aucun sentiment ou aucune affectivité, elle est très fidèle et fiable, mais par-dessus tout sincère et franche. Parfois trop au point de blesser profondément certaines personnes, mais elle ne s'en rend pas compte, elle pense différemment et fonctionne différemment des autres enfants. Les gens la trouvent parfois froide, ou défensive, mais pourtant cette énergumène est bien plus sensible que la moyenne, ce qui lui permet d’ailleurs de ressentir l'humeur et la situation des autres, perméable à ce qui l’entoure. Cette jeune fille est loin d'être tactile, très méfiante des humains, elle les supporte peut et préfère s'isoler de tant à autres, quitte à être injuriée "d'insociable" ou de "solitaire" . Aria est toujours sur ses gardes et il est rare qu'elle se fasse manipuler, bien souvent il se peut que ce fusses le contraire. Elle a toujours débordé d'imagination, d'idées farfelues, de raisonnements fous, mais il s'est avéré que ceci était dû à une étincelle de génie, son côté droit du cerveau prédominant, cette intuition hors norme, ce regard différent sur le monde. Elle est loyale et la plupart du temps ne mentiras que pour de justes causes, car l'injustice, elle la haie. Parfois insolente avec son ironie ou son sarcasme, elle a des paroles réfléchies, et ne fait rien, ni ne dit rien sans but. Parfois éloignée des gens de son âge à tort, elle peine à trouver quelqu'un pour la comprendre. Elle est bornée, quand elle veut découvrir quelque chose, elle le découvre. Mais il y a des moments où elle ne se reconnaît plus, ou elle devient désagréable avec tout le monde, voire agressif, susceptible, impulsive. Et alors dans ces moments, elle se haie, se trouve monstrueuse au plus profond d'elle-même, car elle sait que ça colère la contrôle et que cette maligne enfant sera capable de tout. Gardant comme premier souvenir de sa métamorphose, le meurtre de ses parents, même si on le lui cache.

Apparence: Aria est une jeune fille commune à toutes les autres de son âge, à quelques cicatrices près. Elle s'est longtemps négligée et encore aujourd'hui elle reste simple, une façon de compenser avec sa forte personnalité plutôt complexe. Mais Aria ne reste jamais longtemps à déterminer les traits carrés de son visage, elle n'a pas un grand amour pour elle-même, elle ne voit qu'un monstre. Ses sourcils foncés, tout autant que ses cheveux soulignent ces yeux d'un savant mélange de vert, de gris et de noisette. Elle ne prend plus souvent l'habitude de se coiffer et laisse ses cheveux naturellement bouclés retomber sur ses épaules. Quant à ça façons de s’habiller, elle a gardé ce réflexe de se vêtir comme pour ses escapades ou le temps où son père la forçait à être habillé dans ces "principes" comme une militante. Il n'est donc pas rare de la voir avec un pantalon kaki, un débardeur noir et des rangers marrons, et parfois ses cheveux attachés laissant paraître quelques-unes de ces marques ainsi que sa mine fermé et déterminé.

Histoire: Aria est la cadette de sa famille, du moins quand elle en avait encore une. Son père était haut placé dans l'armée, et sa mère était au foyer. De loin ils paraissaient la petite famille parfaite, une grande maison, une mère toujours présente, un père très apprécié, un frère qui faisait de très hautes études. Mais jamais ils ne semblaient parler de leurs filles. La voyais-t-ils ? La vérité est là: Leur mère sévère ne faisait qu'exécuter les ordres de son mari qui prenait plaisir à faire vivre son frère à la pression pour qu'il soit toujours premier. D'ailleurs son père était peu présent. Aria avait pris l'habitude de fuir dans la nature pour échapper à tout ça, dès petites elle avait appris à vivre seule, contraint par ses parents. Puis la petite casse-cou a grandi, leur enfant était différente et n'avaient pas les bonnes notes dans les bonnes matières, elle passait son temps à rêver, écrire, s'émerveiller devant les mystères de cette terre. Exclue par ses camarades, elle faisait "honte" à sa famille. La vérité c'est qu'elle les méprisait, ils l'injuriaient, parfois la bousculaient alors qu’ils paraissaient si stupide aux yeux d’Aria, d'exclure ce qui ne rentrait pas dans leurs critères de normalités. Son père a décidé de l'endurcir à la manière forte, parfois il lui disait d'aller dormir dehors, d'autres fois il la battait, et pendant 1 an il l'avait emmené dans un camp militaire, elle avait alors 13 ans. Elle n'a fait que se renfermer et devenir plus froide et défensive. Répondant aux moqueries par des coups, elle commençait à avoir ce qu'elle pensait "des crises d'agressivité", devenait de plus en plus impulsive, se vidant de ses émotions humaines, du moins les refoulant au plus profond d'elle-même pour ne plus ressentir ce manque affectif. Elle avait pris pour habitude de soigner ses plaies sur le haut rocher qui jaugeait la grande campagne dans laquelle elle vivait. Seulement celle-ci ne se refermait plus, une morsure énorme s'infectant jour en jour. Ses parents l'avaient refourgués à ses grands-parents maternel, en Argentine. Ça lui semblait son pays d'origine, et les gens la confondaient avec les leurs. Ces grands-parents étaient également stricts et hautains, du moins ça grand-mère, son grand-père, lui, se moquait de sa femme et de ses manières et passait des moments qui semblaient à Aria inoubliables, seulement il n'était pas rare de rencontrer des jaguars lors de ses excursions, mais ce jour là elle ne l'oubliera pas, il était là, si grand, si humble, si beau, posté à quelques mètres d'elle. Elle avança sa main doucement vers sa tête, l'ayant appâté avec un morceau de viande fraiche, elle n'eut le temps de l'effleurer qu'un imbécile d'humain donna un coup de fusil non loin et que l'animal, affolé, lui bondit dessus. Cette imbécile d'humain l'a tout de même sauvé par la suite, mais elle s'en voulait terriblement d'avoir été inconsciente à ce point, et que par ça faute, ce si beau jaguar était mort.

Quant un jour, en revenant d'un campement militaire, elle découvrit le suicide de son frère dû à la pression de ces monstrueux parents. Cette rage qu'il la surmontait si souvent pris soudain un contrôle total sur elle. Elle se souvint juste d'avoir tenté d'atteindre son père avec son poing quand ça mère fut parti, puis surement l'avait-il neutralisé, car elle se réveilla dans ce même salon, saccagé, gisant sur le sol avec un mal de crâne atroce. Il lui sembla néanmoins avoir rêvé, car la force avec laquelle elle avait atteint son père était presque inhumaine, elle se souvenait d’avoir bondi, Aria n'avait pas juste élancé son poing comme on lui avait appris. Elle secoua juste la tête, tentant d'oublier ce cauchemar, mais ce goût de chair restait péniblement dans sa bouche.

Par la suite elle découvrait avec horreur que la maison était déserte et renversée, plus aucunes affaires de sa mère, ni de voitures dans l’allée fleurie, juste le corps de son père, déchiqueter à la gorge, griffé au visage, le regard inerte et la peau pâle et froide.
Elle avait peur d'en être heureuse, elle sentait un sentiment de joie, de rage et d’enthousiasme qu’elle refoulait avec peine, comme ses larmes d'effrois et de douleurs. La façon dont il avait était attaquée et celle qu'elle avait observée chez ce jaguar, il y en avait en Amérique du sud, mais pas aux Canada, pas dans sa campagne reculée de tout, pas au nord. Que devait-elle croire ?
Aria Pensa qu'elle était folle et partit au lycée sans changer ses habitudes, passant devant la voiture de ça mère, enfoncée dans un mur, avec la pauvre femme le coup rompu et rongé par deux énormes cros. Ce n'est que le soir, quand des voitures de police et des ambulances étaient garées devant chez elle, qu'elle prit conscience que tout était réel. La jeune fille avait une idée de ce qui avait pu se passer, mais elle refusait d'y croire. Avant que des hommes des forces spéciales viennent l'interpeler, d'autres l'emmenèrent, lui proposant d'intégrer un institut sur la lycanthropie, Aria ne comprenant plus ce qui se passait accepta dans l'idée de fuir, loin de tout, loin de sa famille, loin de ce cauchemar, mais elle a pleinement conscience qu'elle ne se laissera pas enfermer dans un pensionnat, elle est libre. Son repère c'est son grand-père, le seul qui la comprend, en son souvenir elle garde cette phrase qu'il lui prononçait si souvent "Bambino selvaggio e indomabile", jusqu’à ce qu'aujourd'hui elle en comprenne le sens "Enfant sauvage et indomptable.".

Ton prénom : Bérénice Ton pseudo : HopeDreamer Pourquoi ce forum? Parce que je cherchais un rpg pour m'évader, puis je suis tombée sur un forum qui parlait de la trilogie que j'ai entamé

Je suis arrivé là par l'annuaire de forum actif T'as bien lu le règlement? Bien sûr. Quelque chose à redire? Je ne pense pas. Pitêtre le code, sitouplait? Heu... Je dois avouer que j'ai lue le contexte et le règlement trois fois, j'ai trouvée un mot n'ayant pas grand rapport avec le texte mais je ne sais pas si c'est ça ^^'